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Espace Ecriture
7 janvier 2019

LES STYLOS : Les premiers brevets

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Le brevet de FOLSCH

Son Stylo est caractérisé par la présence d’un piston muni d’un ressort servant à activer l’écoulement de l’encre LJ du corps vers la plume. Folsch s’aperçut qu’il fallait assurer l’équilibre de la pression à l’intérieur du réservoir, et qu’il fallait remplacer par de l’air l’encre qui s’écoulait. Il apporta donc au stylo deux perfectionnements techniques : tout d’abord, un trou percé à la base de la plume en acier permit de laisser passer l’air et contrôler levolume d’encre qu’elle reçoit, ensuite, il réalisa une rainure sur la plume destinée à conduire l’encre à un point précis. Frederick Folsch, anglais, déposa son brevet en Mai 1809

Le brevet de BRAMAH

Joseph BRAMAH déposa en Septembre 1809 un brevet portant essentiellement sur le dispositif d’alimentation qui faisait circuler l’encre sous la plume pour la faire passer du réservoir jusqu’à la pointe. Il s’agissait d’unmorceau de liège comportant une petite rainure destinée à véhiculer l’encre par capillarité

Le brevet de SCHEFFER

John SCHEFFER déposa en 1819 le brevet sur le PHENOGRAPHIC qui revenait à une conception de deux tubes :un réservoir interne en penne d’oie et boyau de mouton, et un corps en argent ou en or. Un bouton placé latéralement permettait de faire parvenir l’encre jusqu’à la plume, tandis qu’un petit robinet actionné à l’aide d’un levier empêchait l’encre de sécher lorsqu’on n’utilisait pas le stylo. Par mesure de précaution, on ne pouvait replacer le capuchon sur la plume que lorsque le levier était en position basse et coupait ainsi l’alimentation

Le brevet de PARKER

L e stylo mis au point par John Jacob PARKER en 1832 représente un grand pas en avant : il s’agissait du premier modèle auto-alimenté. Le réservoir, tapissé de verre ou d’or pour empêcher la corrosion due à l’encre, se remplissait à l’aide d’un piston. Il suffisait de plonger le Parker dans l’encre et de tirer le piston le liquide était aspiré, du fait de la dépression résultante. On pavait également pousser sur le piston pour faire passer l’encre par un petit tube se terminant par une section évasée, et la faire parvenir de la sorte jusqu’à la pointe de la plume. Lorsque l’on refermait le capuchon, une fine aiguille venait obturer ce tube, empêchant ainsi toute possibilité de fuite

Le brevet de GOODYEAR

C’est un procédé industriel, plutôt qu’un stylo, qui devait marquer l’étape suivante dans l’évolution vers la fiabilité. En effet, GOODYEAR breveta un procédé pour le traitement du caoutchouc à l’aide de souffre afin d’obtenir un matériau résistant appelé vulcanite ou ébonite. Les barres d’ébonite pouvaient être percées ou tournées, tout en se prêtant à une production industrielle. Cette matière allait dominer le monde du stylo plume avant d’être détrônée par le plastique à la fin des années 20.

 

  

 

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